7h de dédicaces : anecdotes et leçons

Je te raconte comment j'ai vécu mes premières séances de dédicaces et ce qu'il s'est passé, je t'explique comment interagir avec moi sur Substack et je te confie ma panne de lecture.

Derniers jours pour être sûr·e d’avoir 13 Effrois sous le sapin à Noël !

13 Effrois est disponible en ebook (5,49€) et en broché (10,99 €)

J’ai dédicacé cet exemplaire à trois femmes en même temps, j’espère qu’elle ne vont pas le déchirer pour se le partager… 😮

🖋️En 7h de dédicaces, j’en ai vécu des choses

Avant d’installer mes livres sur la table mise à dispo par la librairie, voilà ce qu’il y avait en vrac dans ma tête : et si personne ne vient ? ou pire, s’il y a du monde mais que personne ne s’arrête à mon stand pour me parler ? encore pire, s’ils s’arrêtent mais qu’en lisant la 4e de couverture ils reposent le bouquin et repartent sans ?

Bref, j’étais (un peu) stressée.

Et en même temps, j’étais super excitée de pouvoir signer mes livres et les distribuer, sans réaliser que c’était un rêve qui se matérialisait. J’ai déjà vu dix fois cette scène dans des films, et là, c’est moi qui allait tenir le stylo et faire de grands sourires en disant : « Bonne lecture ».

Pour arranger ce paradoxe sentimental, j’ai eu la chance d’être très entourée par mes proches. Certaines sont venus se faire dédicacer 13 Effrois avec des étoiles dans les yeux et de la fierté dans la voix. Ca, c’est un cadeau inestimable qui m’a donné de la force.

Finalement, il s’est opéré un truc magique !

J’ai été très à l’aise pour parler du processus d’écriture et de l’édition de mon livre. Probablement parce que j’en connais tous les aspects dans les moindres détails. C’est un sujet que je maîtrise, donc je peux en parler facilement et librement. J’ai même su aborder l’aspect financier quand on me l’a demandé.

Eric a fait les gros yeux lorsqu’il a compris que je ne faisais clairement pas ça pour l’argent. Si ça t’intéresse, j’ai touché 0,70 € de bénéfice par livre vendu, samedi. Oui, la librairie a touché plus d’argent que moi..

Éric est aussi un fan de Stephen King alors ça a matché direct

Moments mémorables de ces dédicaces

J’ai signé une dédicace à ma CPE de collège ! Heureusement elle ne se souvenait pas de moi, ça voulait dire que je n’ai pas été un cancre… Elle a aimé pouvoir soutenir mon travail et surtout, elle avait une maitrise de lettre avec un mémoire sur le fantastique dans ses bagages.

J’ai demandé à Eric s’il était sûr de vouloir acheter mon recueil, en insistant sur le fait qu’il n’était pas obligé de le faire. Syndrome de l’imposteur, bonjour.

J’ai dédicacé un livre à la grand-mère qui espérait donner le goût de la lecture à son petit fils : « Il est jeune comme vous ». Il a 16 ans. J’ai pu remarquer qu’on me donnait souvent entre 5 et 10 ans de moins que mon véritable âge ! La claque.

Ce que je retiens de ces séances de dédicaces

1. Je dois arrêter de m’excuser d’être là et prendre confiance en moi !

2. Ma couverture, dans son ensemble, fait un carton. Les lecteur·ices n’ont pour la grande majorité même pas remarqué que 13 Effrois était auto-publiée. Ils l’ont acheté parce qu’il les a attiré·es et que la 4e de couverture leur a donné envie de passer à l’achat.

3. Moi qui pensais que, peut-être, le prix pourrait être rebutant, pas une seule personne n’a eu l’air de se faire arnaquer ou n’a tiré la tronche en dépensant 10,99 € pour mon livre.

4. Tout le monde aime avoir un marque-pages en cadeau, même quand il s’agit d’un marque-pages à colorier. J’en ai distribuer à des personnes de tous les genres et tous âges.

Tu veux une dédicace toi aussi ?

J’aimerais faire d’autres séances de dédicaces parce que j’ai beaucoup aimé l’expérience, créer un lien avec les gens notamment. Alors j’espère pouvoir le faire à nouveau, et en Bretagne cette fois.

Si tu ne peux pas te déplacer, tu peux quand même obtenir ton exemplaire dédicacé comme Sandra et Johani. Il suffit de m’écrire par mail pour qu’on règles les détails de l’envoi et du paiement (tu peux aussi passer par mon site internet en sélectionnant l’option “dédicace”, mais tu devras quand même m’envoyer un mail).

Je te donnerai un marque-page en cadeau avec ton exemplaire.

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Comment interagir avec moi sur Substack ?

La majorité de mes abonnés n’a pas de compte Substack, et la grande majorité n’interagit pas avec mes newsletters (par méconnaissance de la plateforme, par crainte, par flemme…). Pourtant, la newsletter c’est pour toi que je l’écris !

J’adorerais pouvoir la construire avec toi.

• Quand tu laisses un like, tu m’indiques de continuer dans cette voie.

• Quand tu commentes, tu peux me dire ce que tu as aimé et j’ajuste le contenu.

• Quand tu partages, tu agrandis mon audience et donnes plus de chance à mes écrits, notamment 13 Effrois, de trouver ses lecteur·ices.

Alors aujourd’hui, je t’explique comment interagir avec mes newsletters.
Tu vas voir, c’est simple comme “Au revoir”.

Quand tu reçois Les Papiers Noir à l’Encre Rouge dans ta boite mail, en haut et en bas de l’e-mail, tu as la possibilité de cliquer sur les boutons liker, commenter, partager sur tes réseaux, et partager sur Substack (si tu as un compte)

Parfois, je te pose une question dans ma newsletter. Tu peux soit me répondre en commentaire et ce sera public, soit me répondre par mail et ce sera uniquement entre toi et moi. Je réponds toujours en retour, n’est-ce pas Octavie et Aurélie ?

Si tu lis Les Papiers Noir à l’Encre Rouge sur l’application smartphone ou le site web de Substack, tu peux liker et commenter de la même façon.

Et pour donner de la visibilité à ma newsletter tu peux partager via les réseaux ou à un·e ami·e par mail et tu peux laisser un commentaire auquel je répondrais, quoiqu’il arrive !

Pour me montrer que tu as bien tout pigé, je te laisse liker ma newsletter (le bouton ❤️ est tout en haut et tout en bas) et pourquoi pas me laisser un commentaire en me disant ce que tu préfères lire dans Les Papiers Noirs à l’Encre Rouge, par exemple…

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🚫 Je suis en panne de lecture…

Pas que ma pile à lire soit vide, malheureux·se !

Quand je dis que je suis en panne de lecture, c’est que je ne parviens plus à lire… Après avoir forcé avec Le Syndrome [E] de Franck Thilliez pendant plusieurs semaines, j’ai fini par mettre un stop. C’est la deuxième fois que j’interromps la lecture de ce roman. Je n’arrive pas à y prendre du plaisir.

Pourtant, j’y retrouve des personnages que j’aime beaucoup ! Sauf que le début m’ennui profondément, notamment parce que je suis déçue par la plume de Franck Thilliez dont j’aimais tant les oeuvres avant. Mais aussi parce que je connais l’histoire, je l’ai vu en série.

Pour faire une pause, j’ai commencé une anthologie de nouvelles imaginaires : Interstices des Éditions HPF. Et j’ai mis plusieurs jours à lire une nouvelle de quelques dizaines de pages.

Là, j’ai compris qu’il y avait un problème.

Soit, je n’ai fait que des mauvais choix de lecture et mon cerveau a dit « Fuck ». Après tout, il est plutôt d’accord quand je me plonge dans le Hors-Série Disney de la revue cinéma La Septième Obsession.

Soit, je n’ai vraiment pas la tête à lire, tout simplement.

Ca t’ai déjà arrivé à toi ? Si oui, j’aimerais bien savoir si et comment tu as réussi à en sortir (c’est le moment de laisser un commentaire ou de me répondre par mail 😉).

Personnellement, à la place, j’ai regardé par mal de films. J’ai l’impression d’être une flemmarde parce que le visionnage d’un métrage me paraît moins énergivore et moins long. Au moins, je continue de nourrir ma créativité !