Aide-moi à faire de cette newsletter un rendez-vous plaisir pour toi et moi 😉
Je pense sérieusement à remanier la formule des Papiers Noirs à l'Encre Rouge, mais pour ça j'ai besoin de ton aide. C'est le moment de dégainer ton clic et de laisser ton avis avec franchise !
Tu fais partie des 30 personnes qui lisent mes Papiers Noirs à l’Enre Rouge, merci !
Mais, seul 5 lecteur·ices réagissent, donnent leur avis et votent. Tu hésites à le faire ?
Laisse-moi t’encourager à sauter le pas : clique, commente, écris-moi.
Ca rendra la newsletter plus vivante et elle te plaira davantage.
Justement, aujourd’hui j’ai une question très importante pour toi.
Je compte sur toi pour répondre au sondage 😉
« Remaniez la formule ! »
J'avais déjà songé à passer d’une newsletter bimestrielle à hebdomadaire, à t’écrire chaque semaine. Mais je craignais de ne pas tenir le rythme d’écriture et de te perdre...
Ca fait 8 mois que je t’écris un mercredi matin sur deux, et je n’ai jamais manqué un rendez-vous. J’avoue, j’suis fière !
Mais sur les conseils d’une pro de la communication pour auteur·ices (coucou Lynda, si tu passe par là 👋), je pense que ça pourrait être une bonne idée.
Mes newsletters sont assez longues : 1500 mots en moyenne. Même si je t’écris peu, tu n’as peut-être pas 10 minutes à consacrer aux Papiers noirs. Et puis, tu as remarqué que j’aborde toujours 3 sujets différents dans des thématiques cycliques. Ma newsletter est un mini magazine qui te demande pas mal de concentration et qui ne te pousse pas à l’interaction avec moi. C’est fort dommage parce que c’est justement ce que je cherche.
Alors, voilà ce que je te propose ! T’en dis quoi si je t’écris désormais tous les mercredis ?
Chaque newsletter ne dépassera jamais les 1000 mots (environ 5 à 7 minutes de lecture) et n’abordera qu’un ou deux sujets suivant un même fil rouge : soit l’écriture, qui comprend ma vie d’auteure, soit la fiction de genre, toujours de la littérature au cinéma.
Pour que ce soit plus clair, j’ai fait un tableau des thématiques que je traiterai en fonction de la semaine, regarde :
J’ai besoin de ton avis sincère. Répond au sondage en toute honnêteté !
Tu me dis “oui” si ça te conviendrait comme ça ou “non” si tu penses que c’est une idée à chier.
Et tu peux étayer ta réponse en commentaire ou par retour de mail, si tu as envie d’approfondir. Tu comprends, c’est pour toi que j’écris, donc si je suis à côté de la plaque, il faut me le dire.
Si jamais toi et les autres abonné·es êtes trop partagé·es, alors je créeraipeut-être deux listes de diffusion différentes sur Substack pour que tu puisses gérer tes inscriptions comme tu veux : tu pourras soit recevoir tous les mails, ou bien seulement ceux dédiés à l’écriture ou à l’inverse, seulement ceux dédiés aux fictions de genres.
Mes proches ont appris que j’étais auteure…
Lorsque mes proches ont appris que j’écrivais et que j’avais publié un livre, j’ai vu deux types de réaction chez eux.
Les profiteurs bien intentionnés
Ceux-là, ils sont heureux d’apprendre que tu écris et veulent te lire ! Parce que c’est toi qui a imaginé ces histoires. Sauf qu’ils croient que c’est gratuit : “Hey, je suis de la famille quand même”.
Ils n’ont aucune idée de ce que ce travail représente, du temps qu’on y a passé et de l’argent qu’on y a investi. Et ils s’en fichent ! Ils n’ont pas la présence d’esprit de penser qu’un livre, même créé par leur soeur ou leur best-friend, a un coût.
Ils espèrent que tu leur offriras donc un exemplaire et pensent te rendre service en devenant un·e lecteur·ice de plus. Et puis ça va, un livre à 10,99 €, ce n’est pas la mer à boire !
Je ne leur en veux pas. Je prends le temps de leur expliquer qu’un livre ne me coûte pas 10,99 € mais plutôt 28 €, parce que la couverture, les correction, l’édition, etc, etc.
Les fans inconditionnels
Ceux-là, ils sont prêts à t’acheter 10 exemplaires de leur poche (sans même connaître le prix du bouquin).
Ils vont en parler à tous leurs collègues et amis, quand bien même ils ne peuvent pas les blairer ou qu’ils n’ont pas eu de contact avec Jean-Eude depuis plus 6 mois. Ils inviteront même certains d’entre eux à ta prochaine dédicace, histoire de les coincer.
Ils n’ont pas encore lu une seule ligne de ton livre et le louent comme un chef-d’oeuvre.
Ils ont même l’intime conviction que tu deviendras célèbre, et ont hâte de voir ta tête dans le journal ou sur un plateau télé (soyons fous !).
J’aime leur naïveté, même si elle me met mal à l’aise à peu près comme cet emoji qui ne sait plus où se mettre : 🫣
Entre fierté et admiration
Parler de 13 Effrois à mes proches à parfois été une épreuve de courage.
Le moment venu, j’ai vu chez eux de la fierté, pour ceux qui m’aiment, ou de l’admiration, pour ceux qui ont une idée de ce que représente l’acte d’écrire, de mettre en mots des idées qui sont fantasmées dans notre esprit et qui, une fois sur le papier, ressemblent difficilement à ce qu’on avait imaginé.
Beaucoup ce sont soudainement mis à lire pour pouvoir se plonger dans 13 Effrois. Dans ma famille, la lecture n’est pas une évidence. Pourtant, nombre de mes proches s’y sont mis, et c’est adorable.
Mais j’ai aussi eu le droit au lot de personnes qui ce sont soudainement découvert des idées d’histoire à me faire écrire. Ca c’est le sujet sur lequel je me braque tout de suite. Parce que des idées, absolument tout le monde en a. Ce qui fait la différence, c’est que les auteurs les écrivent. Et c’est bien la partie la plus complexe du processus !
Non, je n’écrirai pas la vie d’untel sous prétexte qu’elle a été vivante et moins banale que les autres. Je n’écrirai pas non plus cette intrigue qui lui trotte dans la tête depuis des mois ou des années, parce qu’elle ne me parle pas, pire, elle ne m’appartient pas.
Peut-être as-tu déjà vécu ça quand tu as dévoilé un secret à tes proches ? Perso, ça ne s’est pas du tout passé de la même façon au moment de mon coming-out 🤣
A mercredi prochain, peut-être 👋
La newsletter hebdo c’est un vrai challenge mais si on a le temps de le faire c’est vraiment bien, ça fait une sorte de rdv chaque semaine. Je suis abonnée à certaines que j’ouvre chaque semaine avec impatience, ça me permet de commencer la journée tranquillement. Après c’est vrai que je devrais commenter plus les posts que je lis, mais maintenant que j’en fais une moi aussi, je devrais m’en rappeler plus facilement 😅
Bonjour Amélie, merci pour cette newsletter et pour la régularité. Ne pas avoir manqué un seul RDV en 8 mois de publication est impressionnant et je n'ai pas réussi à faire de même.
Pour ce qui est du rythme de publication, je pense que tu es la meilleure juge. Je sais que l'on conseille beaucoup aux créateurs de contenu de solliciter leur audience et de s'adapter aux souhaits de la persona. Mais je pense à l'être humain derrière son écran qui tape son texte et je pense que lui seul peut décider du contenu de sa newsletter (puisqu'il part de toi, de ton expérience et de ta sensibilité) et de sa fréquence.
Pour ma part je ne suis pas sure qu'une publication plus fréquente entrainera plus d'interaction parce que l'abonné de la newsletter étant plus sollicité, il peut aussi se lasser.
En tant que lectrice de nombreuses newsletters (parce que j'adore ce format), je n'ai pas toujours un avis sur les sujets abordés et donc j'interagis peu avec les rédacteurs des autres newsletters.
Et en même temps, en tant que rédactrice de newsletter, j'apprécie quand j'ai des retours car on écrit quand même pour être lu.
Donc je comprend la démarche mais je pense que c'est à toi de décider du rythme de publication qui te convient.