Merci pour le partage de ton parcours dans l'écriture et le questionnement sur le statut d'auteure.
Ca me fait drôle de voir mentionner la revue rennaise La Grenouille à grande bouche. J'avais répondu à un appel à texte chez eux et ma nouvelle sur la cuisine du futur a été publiée. Pour autant, ça n'a rien changé à ma vie car on n'a pas le retour des lecteurs de ce texte. (En dehors des parents, amis et collègues à qui j'ai fait lire la nouvelle).
J'espère que tu vaincras le syndrome de la page blanche.
Oh mais... Géniale l'anecdote Aurélie ! Félicitations avec beaucoup de retard pour cette publication. C'est sûr que tu n'as pas les retours du "grand" public mais c'est quand même une satisfaction, enfin j'imagine ?
Oui, sur le moment, quand j'ai reçu le mail qui disait que mon texte avait été retenu et que la rédactrice en chef m'a demandé mon autorisation pour le publier dans son magazine, j'ai eu un bon shoot de dopamine 😂
Après j'ai reçu mon exemplaire de la revue, je l'ai montré à tout le monde puis je l'ai posé dans un coin et la vie a continué comme si de rien.
Toujours super intéressant de suivre ton parcours et tes réflexions sur le sujet ! Je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis par rapport à ce syndrome de la page blanche, le fait de remettre à plus tard l’écriture mais se sentir bien une fois qu’on se lance… c’est curieux comme paradoxe. De mon côté je n’ai jamais osé publier mes textes de fiction, j’ai beaucoup de mal à partager autre chose que de petits essais. J’ai donc beaucoup d’admiration pour les personnes qui, comme toi, se lancent et persévèrent :)
J'ai bien conscience que mon parcours est modeste, surtout quand je traîne sur Bookstagram (peut-être pour ça que j'ai énormément diminué mon temps passé là-bas, ça génère beaucoup trop de phases de comparaison) mais ton point de vue me rappelle que je n'ai pas non plus à rougir de gène et que... Chacun.e son parcours ! (Chacun sa route, chacun son chemin, ahah). Merci beaucoup pour ton retour.
Si jamais tu hésites toujours à partager tes écris de fiction mais que tu en as envie au fond, je te conseille de commencer par cette plateforme intimiste et bienveillante dont je parle dans la partie 1 qui est "Le Héron à la Plume Flamboyante". Et sinon, c'est ok de garder tes écrits pour toi aussi.
Exactement ! Merci beaucoup pour cette piqûre de rappel qui me donne le sourire. Tu as parfaitement raison, ce sont bien des publications, des écrits travaillés qui sont partagés pour être interprétés et discutés, un peu comme des fictions 😉 Merci pour ton commentaire fort agréable ! Repasse dans les commentaires quand tu veux.
Merci pour le partage de ton parcours dans l'écriture et le questionnement sur le statut d'auteure.
Ca me fait drôle de voir mentionner la revue rennaise La Grenouille à grande bouche. J'avais répondu à un appel à texte chez eux et ma nouvelle sur la cuisine du futur a été publiée. Pour autant, ça n'a rien changé à ma vie car on n'a pas le retour des lecteurs de ce texte. (En dehors des parents, amis et collègues à qui j'ai fait lire la nouvelle).
J'espère que tu vaincras le syndrome de la page blanche.
Oh mais... Géniale l'anecdote Aurélie ! Félicitations avec beaucoup de retard pour cette publication. C'est sûr que tu n'as pas les retours du "grand" public mais c'est quand même une satisfaction, enfin j'imagine ?
Oui, sur le moment, quand j'ai reçu le mail qui disait que mon texte avait été retenu et que la rédactrice en chef m'a demandé mon autorisation pour le publier dans son magazine, j'ai eu un bon shoot de dopamine 😂
Après j'ai reçu mon exemplaire de la revue, je l'ai montré à tout le monde puis je l'ai posé dans un coin et la vie a continué comme si de rien.
Effectivement, vu comme ça, c'est moins dreamy 😅
Toujours super intéressant de suivre ton parcours et tes réflexions sur le sujet ! Je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis par rapport à ce syndrome de la page blanche, le fait de remettre à plus tard l’écriture mais se sentir bien une fois qu’on se lance… c’est curieux comme paradoxe. De mon côté je n’ai jamais osé publier mes textes de fiction, j’ai beaucoup de mal à partager autre chose que de petits essais. J’ai donc beaucoup d’admiration pour les personnes qui, comme toi, se lancent et persévèrent :)
J'ai bien conscience que mon parcours est modeste, surtout quand je traîne sur Bookstagram (peut-être pour ça que j'ai énormément diminué mon temps passé là-bas, ça génère beaucoup trop de phases de comparaison) mais ton point de vue me rappelle que je n'ai pas non plus à rougir de gène et que... Chacun.e son parcours ! (Chacun sa route, chacun son chemin, ahah). Merci beaucoup pour ton retour.
Si jamais tu hésites toujours à partager tes écris de fiction mais que tu en as envie au fond, je te conseille de commencer par cette plateforme intimiste et bienveillante dont je parle dans la partie 1 qui est "Le Héron à la Plume Flamboyante". Et sinon, c'est ok de garder tes écrits pour toi aussi.
Salut. Tu dis que n'as rien publié depuis 2023 mais ce substack...est une publication ! C'est juste un autre circuit et une autre forme.
Exactement ! Merci beaucoup pour cette piqûre de rappel qui me donne le sourire. Tu as parfaitement raison, ce sont bien des publications, des écrits travaillés qui sont partagés pour être interprétés et discutés, un peu comme des fictions 😉 Merci pour ton commentaire fort agréable ! Repasse dans les commentaires quand tu veux.
Ta newsletter, c'est de l'écriture ! Tu es loin de n'avoir "rien" publié 🙂
Tu as raison, merci de le souligner ! Quand on a la tête dedans, on a tendance à occulter l'évidence...