Cette newsletter fait de toi une autrice d'infolettre très agréable à lire. Je visualise parfaitement l'enfant qui dissèque les films de la saga Harry Potter. J'imagine très bien l'agacement de la soeur à entendre en boucle des répliques de films et l'inquiétude de la maman qui voit les intérêts de son enfants se déplacer vers des activités plus intériorisées.
Ce parcours initiatique d'autrice est très chouette. A bientôt pour la suite du récit 😸
Merci pour ton retour Aurélie ! C'est la première fois que je parle de moi de manière aussi intime (même si j'ai conscience que ça n'est pas si intime) et j'ai trouvé que c'était assez libérateur de dévoiler une partie de mes premiers dans l'écriture.
Merci pour ce partage de tes débuts. J’ai coché non à ton sondage puis je me suis souvenue que j’en ai lu un peu, en fait. C’était dans l’univers Supernatural, je les lisais en anglais. Mais ça ne m’a jamais intéressée d’en écrire. J’ai une autre question, au sujet du moment où tu t’es sentie autrice : y a t’il une nuance selon toi entre autrice et écrivaine ? (Quitte à causer sémantique, autant y aller à fond, hein !)
Oh Supernatural en anglais, wouah ! Merci pour ce partage eheh.
Pour ta question, je crois qu'il souvent admis qu'écrivain.e c'est le pendant "professionnel" de l'acte de écrire des histoires. Autrement dit, l'auteurice écrit des histoires, l'écrivain.e reçoit de l'argent pour ça voire en fait son métier (ou l'un de ses gagnes pain) et gagne sa vie en partie ou entièrement grâce à la vente de ses histoires. T'en penses quoi ?
D’accord. J’ai un peu de mal à dire, j’avoue. c’est drôle, ça fait écho à un épisode de notre podcast Duo de plumes enregistré aujourd’hui avec Cyril, mon co-animateur, qui pour sa part disait que pour lui on est écrivain du moment où on écrit… Peut-être qu’il faut davantage exprimer la distinction par auteur/écrivain amateur ou pro… il me semble que j’ai mis longtemps à oser me penser écrivaine, et encore plus longtemps à l’annoncer comme une activité professionnelle au même titre que celle qui paie les factures (alors que d’un point de vue temps passé c’est largement en faveur de l’écriture…). Quand je dis longtemps, c’est après plusieurs romans publiés… peut-être parce que la définition est variable pour chacun.
Clairement, la définition est variable selon ta propre appréciation et il y a des chances que ce soit lié à ta confiance en toi et ton estime de toi-même. C'est pour ça que cette fois au lieu de faire une édition réflexion, je suis partie de mon expérience parce que c'est suggestif 😉
Coucou Amélie.
Cette newsletter fait de toi une autrice d'infolettre très agréable à lire. Je visualise parfaitement l'enfant qui dissèque les films de la saga Harry Potter. J'imagine très bien l'agacement de la soeur à entendre en boucle des répliques de films et l'inquiétude de la maman qui voit les intérêts de son enfants se déplacer vers des activités plus intériorisées.
Ce parcours initiatique d'autrice est très chouette. A bientôt pour la suite du récit 😸
Merci pour ton retour Aurélie ! C'est la première fois que je parle de moi de manière aussi intime (même si j'ai conscience que ça n'est pas si intime) et j'ai trouvé que c'était assez libérateur de dévoiler une partie de mes premiers dans l'écriture.
Merci pour ce partage de tes débuts. J’ai coché non à ton sondage puis je me suis souvenue que j’en ai lu un peu, en fait. C’était dans l’univers Supernatural, je les lisais en anglais. Mais ça ne m’a jamais intéressée d’en écrire. J’ai une autre question, au sujet du moment où tu t’es sentie autrice : y a t’il une nuance selon toi entre autrice et écrivaine ? (Quitte à causer sémantique, autant y aller à fond, hein !)
Oh Supernatural en anglais, wouah ! Merci pour ce partage eheh.
Pour ta question, je crois qu'il souvent admis qu'écrivain.e c'est le pendant "professionnel" de l'acte de écrire des histoires. Autrement dit, l'auteurice écrit des histoires, l'écrivain.e reçoit de l'argent pour ça voire en fait son métier (ou l'un de ses gagnes pain) et gagne sa vie en partie ou entièrement grâce à la vente de ses histoires. T'en penses quoi ?
D’accord. J’ai un peu de mal à dire, j’avoue. c’est drôle, ça fait écho à un épisode de notre podcast Duo de plumes enregistré aujourd’hui avec Cyril, mon co-animateur, qui pour sa part disait que pour lui on est écrivain du moment où on écrit… Peut-être qu’il faut davantage exprimer la distinction par auteur/écrivain amateur ou pro… il me semble que j’ai mis longtemps à oser me penser écrivaine, et encore plus longtemps à l’annoncer comme une activité professionnelle au même titre que celle qui paie les factures (alors que d’un point de vue temps passé c’est largement en faveur de l’écriture…). Quand je dis longtemps, c’est après plusieurs romans publiés… peut-être parce que la définition est variable pour chacun.
Clairement, la définition est variable selon ta propre appréciation et il y a des chances que ce soit lié à ta confiance en toi et ton estime de toi-même. C'est pour ça que cette fois au lieu de faire une édition réflexion, je suis partie de mon expérience parce que c'est suggestif 😉