En 20 minutes, j'ai créé un personnage qui, je pense, pourrait porter une histoire. Donne-moi ton avis et ton ressenti sur les deux scènes que j'ai écrites et dont il est le protagoniste.
J'aime beaucoup l'utilisation du présent, ça donne un effet d'immédiateté qui facilite (je trouve) l'empathie avec les personnages. Bravo pour tes textes !
Pour l'histoire du ghostwriter (je me suis noté cet épisode à écouter aussi), à mon avis, c'est plus facile d'écrire quand on a une deadline impossible à reporter. La contrainte, il n'y a que ça qui marche 😅 je le vois bien, ça fait des semaines que je me bloque sur des détails. Mais bientôt, je n'aurai plus le choix que de faire que ça pour finir dans les temps. Team dernier moment 🤣
Je suis d'accord ! Pourtant je n'ai pas fait ce choix de temps de narration consciemment. En général, je choisi présent ou passé de manière instinctive. Dans 13 Effrois, environ une nouvelle sur deux est au présent, et il y en a même 2 ou 3 qui mixe passé et présent parce qu'il y a deux ligne temporelle dans ces récits. De la même façon que j'ai écrit des nouvelles avec un narrateur intradiégétique et un narrateur extradiégétique, et ce choix s'est comme imposé à moi.
J'imagine que dans le cadre de cet atelier d'écriture, étant donné qu'on avait 10 minutes pour écrire, le présent s'est imposé, d'autant que je me suis fortement inspirée du réel.
Je suis d'accord pour dire que les deadline font de certain·e des super-héro·ïnes ! Mais ça ne garanti pas un bon texte publiable du tout 😅
J’ai adoré cette newsletter avec l’illustration de Rémi qui correspondait vachement à l’idée que je m’en suis faite au premier abord. La première scène m’a vaguement rappelé quelqu’un… 🙄 ahaha
Ces ateliers d’écriture semblent être de bons exercices !
Oh, j'en suis ravie et ça compte double quand ça viens de toi 💖 Je crois que je n'avais pas du tout imaginé le physique de Rémi, mais ce qu'a produit l'IA m'a plu. Disons que n'importe qui pourrait vivre ça... Hein.
J'ai envie de faire d'autres ateliers ! Ou me remettre à écrire en duo avec Camille. Peut-être que ça va se faire.
Le personnage de Remi est intéressant car je pense qu'il correspond à une bonne partie de la population. L'identification au personnage est donc facile, presque agréable (même si compte tenu de son état, il faudrait en réalité s'en inquiéter). Rémi donne l'impression de presque ne plus rien ressentir. Le coup du "vol" de portefeuille est peut-être une étincelle intéressante pour la suite de son évolution.
Pour ma part, si je devais imaginer la suite de son histoire, je pense que je prendrais plaisir à le sortir de sa zone de confort. Qu'il fasse des trucs dingues ce bon Rémi !
Merci pour ton retour plein de réflexions intéressantes sur ce personnage sorti en quelques minutes de ma caboche. Je prends note de ton idée quant à le faire sortir de sa zone de confort. C'est probablement quelque chose vers lequel je tendrais si j'étais Rémi : faire quelque chose de nouveau pour ne pas sombrer, trouver le bonheur ailleurs. Mais en tant qu'auteur, j'ai tendance à enfoncer mes personnages dans un drame continue... Comme si ma patte à moi c'était le côté obscure de la vie.
Le faire basculer complètement est un axe aussi hyper intéressant. Je pense qu'il y aurait matière à le torturer un peu 😈 Et lui donner de la profondeur.
J'aime beaucoup l'utilisation du présent, ça donne un effet d'immédiateté qui facilite (je trouve) l'empathie avec les personnages. Bravo pour tes textes !
Pour l'histoire du ghostwriter (je me suis noté cet épisode à écouter aussi), à mon avis, c'est plus facile d'écrire quand on a une deadline impossible à reporter. La contrainte, il n'y a que ça qui marche 😅 je le vois bien, ça fait des semaines que je me bloque sur des détails. Mais bientôt, je n'aurai plus le choix que de faire que ça pour finir dans les temps. Team dernier moment 🤣
Je suis d'accord ! Pourtant je n'ai pas fait ce choix de temps de narration consciemment. En général, je choisi présent ou passé de manière instinctive. Dans 13 Effrois, environ une nouvelle sur deux est au présent, et il y en a même 2 ou 3 qui mixe passé et présent parce qu'il y a deux ligne temporelle dans ces récits. De la même façon que j'ai écrit des nouvelles avec un narrateur intradiégétique et un narrateur extradiégétique, et ce choix s'est comme imposé à moi.
J'imagine que dans le cadre de cet atelier d'écriture, étant donné qu'on avait 10 minutes pour écrire, le présent s'est imposé, d'autant que je me suis fortement inspirée du réel.
Je suis d'accord pour dire que les deadline font de certain·e des super-héro·ïnes ! Mais ça ne garanti pas un bon texte publiable du tout 😅
"Mais ça ne garanti pas un bon texte publiable du tout 😅"
Tout à fait !
J’ai adoré cette newsletter avec l’illustration de Rémi qui correspondait vachement à l’idée que je m’en suis faite au premier abord. La première scène m’a vaguement rappelé quelqu’un… 🙄 ahaha
Ces ateliers d’écriture semblent être de bons exercices !
Oh, j'en suis ravie et ça compte double quand ça viens de toi 💖 Je crois que je n'avais pas du tout imaginé le physique de Rémi, mais ce qu'a produit l'IA m'a plu. Disons que n'importe qui pourrait vivre ça... Hein.
J'ai envie de faire d'autres ateliers ! Ou me remettre à écrire en duo avec Camille. Peut-être que ça va se faire.
Le personnage de Remi est intéressant car je pense qu'il correspond à une bonne partie de la population. L'identification au personnage est donc facile, presque agréable (même si compte tenu de son état, il faudrait en réalité s'en inquiéter). Rémi donne l'impression de presque ne plus rien ressentir. Le coup du "vol" de portefeuille est peut-être une étincelle intéressante pour la suite de son évolution.
Pour ma part, si je devais imaginer la suite de son histoire, je pense que je prendrais plaisir à le sortir de sa zone de confort. Qu'il fasse des trucs dingues ce bon Rémi !
Merci pour ton retour plein de réflexions intéressantes sur ce personnage sorti en quelques minutes de ma caboche. Je prends note de ton idée quant à le faire sortir de sa zone de confort. C'est probablement quelque chose vers lequel je tendrais si j'étais Rémi : faire quelque chose de nouveau pour ne pas sombrer, trouver le bonheur ailleurs. Mais en tant qu'auteur, j'ai tendance à enfoncer mes personnages dans un drame continue... Comme si ma patte à moi c'était le côté obscure de la vie.
Le faire basculer complètement est un axe aussi hyper intéressant. Je pense qu'il y aurait matière à le torturer un peu 😈 Et lui donner de la profondeur.
Pour torturer mes personnages, t'inquiète pas que j'ai le coup de stylo 🙄