Ce champignon va dévorer la maison et peut-être mon imagination.
Est-ce que je me suis éloignée de ce que tu attends de cette newsletter ? Peut-être. Est-ce que j’ai peur d’un champignon ? Clairement.
Chair lecteur·ice 😈
Souhaitons la bienvenue à Salomé, Yassine, Audrey, Murielle, Béatrice, Angela, et Anouk, dans l’enfer de cette 74e édition des Papiers Noirs à l’Encre Rouge.
Dans ces Papiers Noirs tu trouveras de quoi (re)découvrir des pépites littéraires et cinématographiques entre thriller, fantastique, horreur et science-fiction. Par le prisme de l’écriture, de la lecture et de l’actualité, c’est sang pour sang '“mauvais” genres.
Bonne lecture !
🔪En un coup de couteau
Ce que tu aimes et n’aimes pas dans les Papiers Noirs et ce qui va changer
L’horreur dans la cave de ma mère !
Toi en noir et rouge
C’est une newsletter un peu spéciale aujourd’hui ! Car bien que je sois en vacances, le temps dont je dispose j’ai décidé de le passer à bien des choses qui n’ont pas de lien direct avec l’écriture et les “mauvais” genres.
Quoique… vu ce qui se passe dans la cave… Mais on en reparle après !
Aujourd’hui, on fait le point sur les abonné·es des Papiers Noirs à l’Encre Rouge, histoire que tout le monde soit au courant des prochains changements.
Ce que tu penses des Papiers Noirs à l’Encre Rouge
La semaine dernière, je t’ai posé 3 questions concernant la newsletter et 11 personnes (c’est deux fois plus que d’habitude) ont répondu.
Résultat :
73 % des répondant·es préfèrent quand je parle littérature, or j’ai beaucoup abordé des sujets de cinéma et série ces dernières semaines ;
Pour les genres c’est éclectique ! et en cela vous mon audience me ressemble parce que le paris des Papiers Noirs c’est de traiter des différents “mauvais” genres que j’ai listé dans le sondage.
Cela dit, la préférence va au fantastique/paranormal et j’ai envie de dire que c’est probablement un des genres que j’ai le plus mis en avant depuis l’existence de la newsletter donc ça n’est pas choquant
En revanche, seulement 9% des répondant préfèrent l’horreur/épouvante alors que c’est définitivement le point commun de quasiment toutes mes éditions, là c’est étonnant !
Enfin, les “autres” genres, soit tout ce qui n’est pas dans la ligne éditoriale des Papiers Noirs sont 2e dans le sondage, ce qui est aussi étonnant pour moi.
Alors, après réflexion, voilà ce que j’en dis.
Voilà ce que j’ai compris
D’abord, les résultats du sondages ne sont pas forcément représentatifs de tous mes lecteur·ices car vous êtes +100 abonné·es et seulement 11 à avoir répondu…
Ensuite, je croyais m’adresser à des inconditionnel·les de “mauvais” genres et en particulier d’horreur, mais peut-être que je touche finalement plus de néophytes et ça n’est peut-être pas plus mal… Parce que l’idée c’est de démocratiser l’horreur, d’en casser les préjugers, de le faire découvrir dans ce qu’il a de bon (et de moins bon). Néanmoins, ça explique peut-être que tu sois moins interractif·ve quand je te parle d’horreur tout le long d’une édition.
Surprise, une des éditions des Papiers Noirs a explosé et surpassé toutes les autres avec un total de 428 vues, 41 likes et 30 commentaires. Elle a généré 10 abonnements et continue d’être partagée et lue. La voici, si tu ne l’as pas encore lue :
Les évolutions envisagées
Il est vrai aussi que j’ai peut-être dévié un peu de ma promesse initiale en mettant davantage en avant le cinéma que la littérature. Il est évident que la majorité de mes abonné·es sont la pour la littérature et la lecture. Je vais donc tenter de remédier à ça car, effectivement, la dernière fois que j’ai parlé littérature c’était il y a un mois et demi.
Cela dit, je lis beaucoup moins vite que je ne regarde et analyse des films.
Ensuite, quand je parle d’écriture et de mes coulisses d’auteure, en général ça te botte ! J’aimerais revenir plus souvent sur ce sujet, mais le fait est que j’ai du mal à écrire depuis un bon moment, même si j’essai de traiter ça…
Enfin, j’ai un plan.
Sur les 110 abonné·es à ce jour, 4 n’ont pas ouvert Les Papiers Noirs durant les 12 derniers mois. Avant de les retirer de la liste de diffusion pour améliorer mes taux d’ouverture et d’engagement, et pour éviter de noyer ces lecteur·ices sous des mails qu’iels jettent, je les ai contacté via un email de réengagement (c’est comme ça qu’on dit en web marketing). Sans réponse de leur part, je vais arrêter de leur écrire pour le bien de tous·tes. Et désormais, je ferais ça tous les 3 mois.
Un parasite dans la cave
Pour les vacances, j’ai quitté la Bretagne sous le soleil pour retrouver la commune où j’ai passé les quinze premières années de ma vie afin d’y retrouver ma maman. Elle vient d’aménager dans une vieille maison rénovée. Et c’est une super baraque avec un petit jardin (en friche), plusieurs chambres (aux mures moisis), et une cave (effrayante).
Qu’est-ce que c’est que cette histoire de cave ?
A l’intérieur de ce souterrain obscure où l’humidité règne, un parasite se répand comme de la poudre à canon. La mérule. Il s’agit d’un champignon capable de s’attaquer aux charpente de bois et de s’infiltrer dans la maçonnerie.
Une mousse orange, des filaments pendant, une odeur prenante…
Ce n’est qu’une question de temps avant que l’escalier au-dessus de la cave qui mène au premier étage ne cède, bouffé par le champignon. Qui passera à travers les marches, moi ?
Si je te raconte ça, c’est parce qu’hier on a décidé de laisser la porte de la cave ouverte, histoire d’aérer. Et maintenant, chaque fois que je regarde dans son antre, j’ai l’imagination qui foisonne de récits horrifiques.
Je n’ai encore rien écrit, rien posé sur le papier, mais peut-être que je m’y pencherait pendant mon séjour ici, ou bien dans le train du retour de dimanche.
A ton avis…
Ce serait génial que tu laisses aller ton imagination et que tu détailles ta réponse en commentaire. Avec moi c’est toujours chill dans cet espace de discussion 😉
Avant de partir, j’ai une info pour toi.
La majorité de mes abonné·es n’a pas de compte Substack, et la grande majorité n’interagit pas avec mes newsletters (par méconnaissance de la plateforme, par crainte, par flemme…). Pourtant, la newsletter c’est pour toi que je l’écris !
J’adorerais pouvoir la construire AVEC toi.
Quand tu laisses un like, tu m’indiques de continuer dans cette voie.
Quand tu commentes, tu peux me dire ce que tu as aimé ou non, et j’ajuste le contenu.
Quand tu partages, tu agrandis la communauté et donnes plus de chance à mes écrits, notamment 13 Effrois, de trouver ses lecteur·ices.
Alors, si tu ne sais pas comment interagir avec moi sur Substack, je t’explique tous dans cette édition. Tu verras, c’est simple comme “Au revoir”.
J’espère que cette newsletter spéciale t’aura été utile. Si oui, laisse-moi un like avant de partir !
A mercredi prochain 👋
C'est la clé de "Last of Us", tout est parti de là...
Eh bien cette cave fait froid dans le dos ! Pour moi le parasite va contaminer la ville à coup sûr :')